Bonjour c'est Franco !

Bonjour à tous,

Comme on me l'a demandé, je viens ici me présenter rapidement.

Je suis le créateur du site http://www.wakast.com, et je suis venu m'inscrire ici car Victor a parlé de mon site dans un topic un peu plus bas.

J'ai 23 ans, j'aime l'informatique, les pcs etc ... et j'ai un peu tiré dans ma vie à la carabine à plomb en réel et avec un peu toutes les armes dans les jeux vidéos

Mais ce que j'aime le plus est la peche sous marine.

Bonjour Franco.
Vivi sous les tropics.

FrancoDeWakast

Merci de t'être présenté, ici t'es vraiment chez les fadas!!!
Si tu avais quelques photos de tes plongées on serait je crois ravis.

salut FrancoDeWakast

tu est un chef sur ton site
fais attention ici il n'y a que des Dingos

nous allons sûrement te trouver des sujets pour que ton site devienne le N°1 Le site de la formation gratuite à l'informatique

http://www.wakast.com/index.php?action=forum&subaction=sujet&id_chambre=3259

bienvenue parmi nous, et felicitation pour le travail de pedagogie sur ton site

salut de normandie FrancoDeWakast

un grand salut d 'Occitanie,de Catalogne,et du Péloponèse!

Salut et bienvenue a toi
Bien la démo pour placer des photos sur les forums
a+
papy09

Cool l'informatique pour les blondes, j'ai presque réussit, le problème c'est que j'ai 2 mains gauches, tu as un truc pour ça???
ok

Franco..

sur le forum de la bonne humeur!!!

Bonjour tout le monde et merci pour cet accueil

Je n'ai malheureusement pas de photos de mes pêches :/ tout est dans ma mémoire Juste pour vous mettre l'eau à la bouche :

Je vis en Corse du Sud, j'ai donc l'occasion de plonger dans de très beaux coins. J'ai eu l'occasion de pécher un peu tout ce qui éxiste chez moi : murènes ( j'adore en manger ), congres ( bofs ), loups, rougets, vieilles, sars, barquettes, soles, poulpes et sèches etc ... etc ...
Je trouve souvent des étoiles de mer aussi Mais mon péché mignon c'est quand même les oursins : Une belle après journée avec des amis ou la famille, des fougasses et un peu de pinard, on se prend pour un prince le temps d'une journée ...

Mais bon, en ce moment, avec tout le boulot que j'ai ( un boulot fixe + Wakast ), la plage je ne la vois jamais ! :'( Pas grave, je me rattraperai l'an prochain.

D'ailleurs, je vous annonce un truc plutot cool J'ai fait l'acquisition il y a quelques jours d'un camescope numérique, de deux projecteurs halogènes, un micro cravate et je dois encore acheter un dictaphone numérique mp3 et je commence à faire des vidéos pour Wakast sur "Comment ouvrir son pc et mettre les doigt dedans sans tout casser". La première sera une présentation de l'intérieur d'un pc. Là je teste un peu, je vais mettre une petite vidéo sur le site pour faire saliver un peu le webeuh

Par contre, comme ça m'a couté pas mal de blé tout ça, je me demande si je vais pas demander un abonnement pour ces vidéos là. En tout cas, je n'ai jamais vu de telles vidéos sur le net. Encore celles où je montre comment marche tel ou tel logiciel, ça éxistais déjà ( mais pas pour les vrais novices :p ) mais mon new concept, c'est tout nouveau sur le webeuh :p

Aller à bientôt les tireurs et n'hésitez pas à me demander des vidéos sur mon site http://www.wakast.com et cliquez sur "suggerer une vidéo"

medre il ne s'embête pas en corse tu nous a mis l'eau a la bouche

on viens quand

Spirosophie...
la plongée est notre Zen...
et on a tort d'affirmer qu 'ou y a le zen....
Croyez moi.


Lorsqu’il sauta à l’eau,sa chute provoqua une sourde explosion saluée d’un éblouissant jaillissement de blanche écume,qui se dilua aussitôt autour de lui en une étreinte bleutée et fraîche.
Et une fois encore,une angoisse sourde mélée de délectation saisit le plongeur qui se sut redevenu poisson….comme avant.
Montre,bathymètre,compas… il s allongea et détendit ses muscles.Un rapide coup de reins,tête en bas,palmes tendues,le propulsa alors vers ce là bas qui l’appelait,comme chaque jour.Un mince filet d’eau glacée contracta sa nuque et ses épaules,alors qu’il équilibrait ses tympans qui refusaient douloureusement cet ailleurs ou les sons deviennent magie.Il palmait lentement et régulièrement,certain qu’il allait vaincre cette énergie sournoise qui tentait à chaque fois de le repousser vers la surface des hommes,tandis qu’un air glacé et métallique fouettait sa bouche asséchée qui redevenait branchie.
Et soudain,la Mer l’accepta,et c’est sans efforts et sans bruit qu’il s’enfonça vers un ailleurs ésotérique privé de mots qu’il pénétra lentement,suivi d’un magnifique panache de bulles scintillantes aux allures de comète fulgurante.
Ses bras et ses mains de terriste,désormais inutiles,s’étaient serrées contre ses flancs,et seules ses cuisses le propulsaient harmonieusement,au rythme d’une respiration très espacée et rythmée selon une partition inconnue en haut : « spirosophie…la Mer est mon Zen.. »
Et c’est totalement détaché d’un corps anesthésié par la narcose et l’apesanteur qu’il aperçut le fond qui venait à sa rencontre.Il souffla,afin d’accélérer sa montante descente,se raidit,puis gonfla à nouveau ses poumons,ce qui le stabilisa au ras d’une immense masse brillante que l’éclat de sa lampe fit soudain scintiller :des millions de sardines et d’anchois,gisaient là,enchevêtrés dans une raideur angoissante,brutalement détruits à l’explosif.
A demi ensevelie sous le charnier ,une ancre dépourvue de jas dressait une triste signature au sein de ce lamentable charnier.
Il plana longuement au dessus de ce cimetière sans cyprès,et atteignit enfin un superbe coralligène panaché de bondissantes castagnoles,qui s’effacèrent discrètement à son approche derrière les multiples gorgones bleues fleuries de blanc,affolant quelque peu les spirographes qui replièrent prudemment leur panache moucheté,tandis qu’un mérou de passage se blottissait en douce dans la rague qui abritait le mythique corail rouge.
Afin de l’intimider,une murène tigrée aussi courroucée qu’un promoteur accusé de mauvaise gestion, le menaça de sa gueule béante à la double rangée de dents pointues,pour se culer au fond de son trou,comme accablée sous le poids d’une inculpation inique.
Les multiples cavités du rocher tourmenté abritaient encore de nombreuses branches de corail dont les blancs polypes pompaient la vie dans le courant,mais il nota avec tristesse que plusieurs rameaux ne respiraient plus,morts d’avoir filtré le poison injecté par les hommes qui,après avoir détruit les posidonies qui retenaient les cordons littoraux,et permettaient la reproduction des espèces et l’oxygénation du milieu,étaient en train de briser la Vie au sein même de leurs origines.
La partie horizontale du rocher,jadis très riche,était jonchée de coquilles brisées,et aussi pelée que le crâne de Yul.Les modernes filets pélagiques étaient passés par là…
Une escouade de canthares, au nez en trompette,s’enfuit dans un roulement de tambour tandis que le mérou cabriolait dans sa rague,d’un grand coup de sa large queue dévorée par la pollution,manifestant son effroi par un brutal changement de sa belle robe brune,qui devint tigrée.
Et c’est alors qu’apparut l’épave ,juste derrière le tombant,
Après avoir longé la coque inerte et concrétionnée,il s’engagea dans la brèche ouverte par la torpille qui lui avait déchiré le flanc,ou il dérangea un énorme congre qui s’effaça,à reculons et sans bouger un seul muscle,tout en le fixant de son œil jaune et rigolard.
Lentement,afin de ne pas soulever la vase qui avait envahi le compartiment des moteurs,il contourna les lourdes machines endormies en retenant son souffle dans l’espoir de surprendre corbs et mostelles qui vivaient là depuis que les hommes les avaient chassés des côtes qui les avaient vu naitre.Un vieux poulpe balafré,assoupi sur le Chadburn blanchit de colère à son approche et fusa,dans un rideau d’encre opaque,vers l’échelle de coupée qu’il survola aussi,jusqu’au pont avant décoré d’un mât de cargue flanqué de deux antiques mitrailleuses,figées dans l’attente d’une oxydation totale,dérisoires sentinelles d’une guerre aux victimes oubliées.La délicate dentelle de filet qui les recouvrait,toujours pêchante,continuait à piéger de nombreux poissons dont les carcasses jonchaient la trame meurtrière et invisible.
Un coup de palme discret le propulsa vers la proue ,ou deux chaînes rouillées ,s’échappant des guindeaux,lui montrèrent l’emplacement des écubiers sous lesquels pendaient deux ancres inutiles.
Une tortue juvénile attirée par ses bulles,en percuta le rideau argenté,et se jeta sur un sac de plastique,abandonné sans doute par un adepte du bronze cul,puis disparut silencieusement.Il vira sur tribord,longeant les coursives désertes,et parvint à la coupée,ou trônaient toujours la barre et la masse demi sphérique d’un compas maintenant au même cap ,orphelin de son équerre.Il caressa au passage les élégantes antennes d’une langouste esseulée en pleine mue qui s’était accrochée au plafond afin d’échapper à l’appétit des congres et des poulpes.Elle s’enfuit dans une marche arrière frénétique et désordonnée,trahissant son émotion par un zézayant chant de cigale.
Il piqua alors vers la poupe surbaissée,recouverte d’un vieux filet à larges mailles,qu’il tenta sans succès de dégager,et fut soudain saisi d’un essoufflement subit dû à l’effort :
Agenouillé dans un nuage de vase légère,il se contraignit à une totale immobilité,afin que son rythme redevint serein.Il contempla alors les massives daurades au museau volontaire rehaussé d’or fin,qui approchaient majestueusement de cette statue du Commandeur,qui exhalait pourtant le souffle des hommes ,qui remontait chez eux.La fin d’un personnage de Molière,mise en scène par un grand,lui revint en mémoire :Ce Dom Juan statufié par la colère divine est aspiré ailleurs ,mais personne ne peut dire s’il monte,ou s’il descend.
Monter,ou descendre ?
Repartir vers la pesanteur solaire,ou se replier en position de fœtus pour un symbolique retour à l « alma mater »,la mère nourricière,qui pourrait bien être Mare Nostrum ?
Levant la tête à la poursuite du rutilant chapelet de bulles qui fuyait vers une invisible surface,il aperçut un lest de plomb qui chutait lentement vers lui,suivi d’un leurre multicolore qui masquait un redoutable hameçon à thon.
Et c’est alors qu’il fit son choix dans le silence bleuté qui l’enivrait de sa lumière :Il ôta sa montre au cœur battant,son profondimètre,son compas,son couteau et ses palmes qu’il rangea sur le pont selon un rite mystérieux.
Puis il y posa sa lampe,qu’il éteignit,décapela les lourdes bouteilles d’acier dont il ferma le robinet,et ôta son masque et son détendeur.
Il retira posément sa combinaison de plongée,qu’il cala sous la ceinture de plomb,et ,s’arc boutant au bastingage,bondit sur l’hameçon qu’il avala goulûment.
Lucette ,pas contente,lui demanda alors pourquoi il venait de la mordre,à quatre heures du matin.


Y E.

Bienvenu chez nous.

Franco,ça fait caudillo.....d'un autre côté,il est plongeur.C 'est peut être Franco de port?

C 'est comme la petite moustache en Allemagne.

Elle fait fureur...

Je vais me sêcher.je suis plein de sel.

Un chien fait pas des chats...

et oui on vit sur une ile magnifique!, coté decor je pense paq qu'on puisse trouver mieux sur une si petite superficie!, il ya tout ici la mer, la montagne les foret les plaines, etc.., le tout imbriqué l'un dans l'autre! , et c'est ca qui fait son charme!
bienvenue d'un autre insulaire!