les belles histoires d'EVIL

Moi je veux du luis mariano, des belles brunettes qui dansent et tout plein de margaritas et aussi des pina coladas et aussi le truc là, que tu essaye de dégommer les yeux bandés pour avoir les bombeks dedans.
Et aussi je veux voir briller les éperons, cracher la chique brunâtre.
Je veux Speedy Gonzalez, Titi, Grosminet, Bugs....

Allez Evil, au turf!

zorkette a écrit:

et aussi le truc là, que tu essaye de dégommer les yeux bandés pour avoir les bombeks dedans.

Ça s'apelle la Piñata (prononcer Pignata)

J'avais pas trouvé la tilde désolée

Sympa les petites histoires.

Par contre peux tu nous citer tes sources,vu les extraits cela donne envie de tout lire.

..

je ne dirais qu'un mot

encore

victor a écrit:

je ne dirais qu'un mot

encore

plus un avec grand plaisir

Cela change des idioties copiées collées que l 'on lit parfois(trop souvent à mon goût) sur d 'autres forums...

Oui c'est vrai, ça vivifie après toutes ces petites bulles de champagne.

Salut et merci pour ces histoires
Une autre s.t.p.
a++++
papy09

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Il nous fait les teasers!
Ah bravo

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J'ai l'eau des nouilles qui bout ( et non pas)

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y fallait pas chinoiser

moa nems bien cette histoire

Ab'Fab'
Mais il a mis " bonne année", ça veut dire qu'yen aura plus?

30 Avril 1863.

Camerone

L'honneur et le courage c'est cela !

Les hommes avancent sous la chaleur du soleil mexicain en cette fin avril 1863. Devant un Capitaine regard d'acier homme de fer, main de bois le coeur dessus adulé de la 3e compagnie. Partie à 1 h 00 du matin la voilà on approche de Camerone il est environ 7 h 00 arrêt pause café. L'horizon s'obscurcit mais ce n'est pas le soleil qui se couche déjà.
8 h 00 des cavaliers 12 h 00 fantassins dans leurs uniformes chatoyant donnent l'assaut. « Aux armes » La sueur coule dans leur uniforme de coton, pourtant ils n'ont pas peur. Une ombre noire passe ,la plupart frissonnent, comprennent qu'ils ne verront pas la fin du jour, alors leur peau sera chèrement vendue,parole donnée. Le convoi qu'ils protègent doit arriver a Puebla ,surtout arriver a n'importe quel prix, cela sera fait en versant leur sang s'il le faut. Le temps passe tirant sans répit les rangs fondent ,sa résiste dur. En face beaucoup tombent aussi. Le brave Danjou est mort, autour de lui des Légionnaires gisent morts ou blessés. Le lieutenant Baudet a 5 hommes près de lui, plus de cartouches mon Lieutenant. Ont peut s'imaginer cet instant pour eux noir de poudre, trempés de sueur plus qu'une solution les enfants baïonnette au canon on va leurs montrer comment ont meures à la Légion. Le regard déterminé, dignes de tradition, ils chargent le lieutenant tombe mortellement blessé mais il ne moura pas de suite, 3 Légionnaires restent encore. Subitement le feu ennemi s'arrête un général avance , RENDEZ-VOUS. Le caporal seul gradé restant répond à la condition que nos blessés soient soignés et que nous gardions nos armes. Le général d'un ton admiratif dit On ne peut rien refuser a des hommes tels que vous.
Le convoi est arrivé au prix du sang versé par la 3e compagnie .
Une page d'héroïsme venait de ce tourner.
Tous les 30 Avril le rappellerons jusqu'a la fin des temps.

Texte toujours récité avec beaucoup d'émotion dans toutes les fraternelles du monde au jour dit et de préférence devant la reproduction en miniature du monument aux morts de Sidi Bel Abbès.

Ah oké
Moins drôle du coup

Moins drôle, pas tout à fait, car avant la rencontre à la fraternelle, il y a le salut au poilu inconnu, puis le vin d'honneur avec la fanfare (au Maneken-Pis pour les Bruxellois) et après à la fraternelle il y a les chansons, parfois les citations remises aux convives par les officiels, et puis, il y a le buffet.
C'est du sérieux mais comme l'ambiance est fraternelle on s'amuse bien quand même.

J'en doute pas, mais c rapport aux histoires d'EVIL c'est tout.